La Religieuse

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« Tuez plutôt votre fille que de l’emprisonner dans un cloître, oui, tuez-la. »

Ainsi s’exprime la narratrice, placée contre son gré dans un couvent, à un marquis dont elle espère du secours.
Selon Diderot, son roman est « une effrayante satire des couvents », roman noir, teinté d’érotisme hardi, qui ne fut publié qu’après la mort de l’auteur.